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Après La Fin
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Après La Fin
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Messages : 62 Date d'inscription : 12/09/2011 Age : 27 Localisation : Swiss'
Sujet: ». Mes textes à moi (: Mer 14 Sep - 17:29
Voilà les gens, je poste un de mes rps. En effet je suis inscrite sur des forums de RPG, et là je me suis fait un rp en ''solo'' si l'on veut bien. Je l'aime bien, j'étais vachement inspirée xD Le voici donc. Il y a 6 chapitres et je n'ai jamais fait de relecture conséquente ! xD Et puisque c'est assez long, lisez-le en plusieurs fois si vous n'avez pas le temps, ou bien lisez un chapitre et postez votre avis après. ;D
Juste un petit texte pour que vous compreniez mieux la situation du rp: Dans une académie appelée Eternal Time sont regroupés des enfants et des gens possédant des pouvoirs, et sont liés à un animal avec qui il peut communiquer par la pensée, la parole. Mais une mystérieuse personne appelée ''L'Ombre'' vint enlever certains élèves et les enferma dans une usine pour leur faire subir des expériences afin de leur prendre leur pouvoir. Là, c'est le cas de Gwendolyn Prospero, télékinésiste, 16 ans, lycéenne, séparée de son animal appelé ''Ewig'' qui est en fait une renarde nommée Sweet. Elle se retrouve heureusement dans la même cellule que celle de son meilleur ami, Scott.
Cliiick ! Pour découvrir l'histoire. (: 24h chrono:
~ Chapitre One ~
Alors que Scott était absent, ils étaient venus. J'entendais encore le son de la grille grincer, deux hommes entrer dans la cellule, m'attraper part les bras entourant mes minces épaules de leurs grosses mains. Ils me guidaient dans le long couloir des cellules, je croisai le regard de certain. Tous reflétaient la peur, pour moi, pour eux. De mes yeux vides d'expression et de vie je tournai la tête, mes mèches blondes qui devenaient un peu filasses retombèrent devant mon visage. A ce train là, je ne voulais plus vivre. Mon teint était pâle, mon regard était livide, mes cheveux devenaient crasseux.
Pendant le voyage, j'avais fermé les yeux. Marchant d'un pas nonchalant en direction du laboratoire où il m’emmenaient. Une porte s'ouvrit, la lumière m'aveugla. C'était une spacieuse salle dont les murs et le sol étaient recouverts de peinture blanche éclatante. La forte luminosité réfléchissait contre les murs et m'en donnait presque mal à la tête. Ils me plaquèrent au sol, et un homme vêtu d'habits blancs se baissa et s'approcha de moi. Il tenait une seringue, qu'il me piqua dans le cou pour me prendre un échantillon de mon sang. Certainement si je mourrai dans les prochains jours... D'un geste sec ils me relevèrent et me traînèrent dans une grande salle, énorme, comme une sphère. C'était tout juste s'ils ne m'y lancèrent pas, puis ils sortirent...
En un clignement d'oeil, le décor de la salle fut changé. Un immense désert sous le chaud soleil de l'après-midi avait prit sa place. Je me levai, admirai le paysage me demandant ce que je faisais là. En plus, je sentais quelque chose de plus en moi... Mon... Mon pouvoir ! Mais... Rêvais-je ? Je compris que non lorsqu'une voix résonna autour de moi.
-Tu passeras vingt-quatre heures dans cette salle de simulation. Nous te mettrons à l'épreuve, toi et ton pouvoir. Courage, plus que vingt-trois heures, 59 minutes et 34 secondes...
Un rire cruel suivit ses paroles. Ils me mettaient à l'épreuve ?! Et bien certes, j'allais me débrouiller... C'est sur ses pensées que je vis une silhouette en haut d'une dune un peu plus loin. Je jetai quelques regards autour de moi. Il n'y avait pas qu'une personne... Mais pas moins d'une cinquantaine qui avaient formé un cercle autour de moi, j'étais prise au piège dans une cuvette. Il me fallait trouver une idée, et vite...
~ Chapitre Two ~
Toutes les silhouettes se mirent en place. Je n'en voyais aucune, elles étaient toutes dans une tenues noire avec des casques assorti recouvrant toute la tête, juste une sorte de lunettes de ski opaque cachant leurs yeux et agissant aussi certainement comme lunettes de soleil. Des déclics se firent entendre, des armes se pointèrent vers moi. Un frisson me parcourut l'échine alors que je commençai à trembler. Sweet... Je voulais mon Ewig... C'était la seule personne qui me poussait vraiment à me battre. Je voulais la serrer contre moi, passer ma main dans son doux pelage. Non, ce n'était pas le moment de penser à elle. Une douce brise vint faire virevolter mes boucles d'or, soulevant un peu de sable au passage. Mais bien sûr ! Le vent !
Je fermai les yeux. Tendis mes bras à l'horizontal, le vent balayait constamment le désert. Il agitait mes habits oranges de cellule, je le sentais presque me traverser. Je ne faisais qu'un avec la brise, bientôt sa couleur orangée vira au violet, le sable autour de moi tourbillonna de plus en plus fort, avec de plus en plus de puissance. Je créai une véritable tempête. J'entendis des cris de surprise, quelqu'un fit feu. Une vive douleur m'attaqua dans le genou, je défaillis et me retrouvai à genoux dans le sable, la tempête perdit de la puissance. Je devais continuer. Vainquant la douleur qui me faisait des lancés dans la jambe, la tornade reprit de plus belle. Des soldats s'envolèrent, alors que d'autres prirent la fuite. La tempête prenait tout avec elle, cailloux, sable, homme. J'en étais le centre, le coeur.
La fatigue me gagna peu à peu, la tempête prit fin après environ cinq bonnes minutes. Je m'écroulai. Le souffle court. La douleur lancinante. La chaleur m'envahissait. Mon coeur battant. Il fallait que je me trouve de l'eau. Absolument. Mais avec une jambe blessée ça n'allait pas être simple. Je me relevai à grande peine, pivotai sur mes talons. Plus personne. L'endroit était redevenu aussi désert que lorsque j'étais arrivé. Le soleil était brûlant, et les grains de sable arrivant sur mon visage me brûlaient. Il était bouillant, et je devais me protéger le visage avec mes bras lorsque je me mis à marcher en direction du haut d'une dune.
Après une dizaine de minutes j'atteignis le sommet. Ma jambe me faisait souffrir, je n'avais encore même pas pris le temps de la regarder. Je n'aimais pas le sang, je n'aimais pas les piqûres, je n'aimais pas les blessures profondes. Ça me répugnait. Je mis ma main à la hauteur des sourcils et balaya le désert du regard, pivotant sur moi-même. Du désert. Du sable. Du ciel bleu. Du soleil. Rien d'autre. Rien. Je crus désespérer mais au loin, je vis quelque chose. Très loin. Une chose qui dépassait tout. On aurait dit le toit du Monde, il ne manquait plus que la neige. C'était une montagne. Qui disait montagne disait eau, disait ombre, disait repos. Mais je n'y serai pas avant une journée de marche, et blessée, ça ne m'arrangerait pas les choses...
~ Chapitre Three ~
Combien de temps mis-je pour me rendre à cette montagne ? Combien de fois avais-je pensé que ce n'était qu'une illusion ? Combien de fois ais-je hurler à la mort lorsque je trébuchai ? Combien de larmes ais-je versées ? Celle-ci est la seule question à laquelle je pouvais répondre: aucune. Chaque bon souvenir qui tentait d'apparaître dans mon esprit, je le chassais. Chaque fois que je repensais ne serait-ce qu'au sourire de mes meilleurs amis, je le chassai lui aussi. Je ne pensais plus qu'à une chose: survivre.
Le soleil se couchait déjà quand j'y étais parvenue. A peine avais-je atteint l'ombre masseuse de la montagne que je m'y étais effondrée. Enfin. Enfin du frais. J'avais mal. J'avais soif. J'avais faim. Je finis par m'asseoir, et me positionner en face du soleil couchant. Je réalisais que ça m'avait atrocement manqué. Que je n'avais plus jamais rien vu d'aussi beau depuis longtemps. Le vent souffla dans une direction bien précise. Je fronçai les sourcils. Je ne sentais pas le frais sur mon visage, mes cheveux ne bougèrent pas. Mais pourtant, j'avais vu le sable s'élever. Je tournai la tête dans la direction où il soufflait. Il y avait une grotte ! Une grotte creusée dans la roche ! J'écarquillai les yeux. Rêvais-je ?
Jen eu la certitude du contraire lorsque mes mains frôlèrent la pierre tiède. Je n'attendis pas plus longtemps pour y pénétrer, il y fit encore meilleur à l'intérieur. Je profitai de la lumière qui restait encore pour déchirer le bout de mon pantalon de ma jambe blessée. Je grimaçai. Des grains de sable entouraient la blessure, certains même était dans la chair à vif. Le tissus orange était devenu rougi mais on pouvait voir les gouttes de sang séché sur ma peau. La balle avait frôlé la chair et un bout avait été arraché, pas étonnant que ça me faisait si mal.
Plip... Plop... Plip... Plop... Je tendis l'oreille. Plip... Plop... Plip... Plop... Mais oui c'était de l'eau ! Je bondis sur mes jambes en tirant la grimace sous la douleur je me dirigeais vers le fond de la grotte. A un endroit où le soleil éclairait encore un peu, je vis la chose qui manqua de me faire hurler de joie. Une source ! Il y avait une petite flaque où des gouttes d'eau y coulaient ! Je joignis mes mains en forme de bol, les enfouis dans le liquide transparent puis que j'amenai à mes lèvres. Je bus ainsi longtemps. Puis je nettoyais la blessure en gémissant, et je me rendis compte alors que j'avais atrocement chaud avec ce gros pull orange. Je n'attendis pas plus pour le retirer et le poser à côté de moi. Je me retrouvai donc avec une manche de pantalon en moins et en soutient-gorge noire dans la grotte. Je n'étais pas exhibitionniste j'étais même du genre pudique. Mais qui viendrait me voir ici hein ? Je m'aspergeai le buste, la nuque et les bras d'eau, me rendant compte du bien fou que ça pouvait faire.
Je me séchais un peu le corps avec mon pull que je renfilais. Il commençait à faire frais dans la caverne. On m'avait toujours dit que les nuits étaient glaciales dans le désert. Je n'attendis donc pas vraiment pour m'allonger sur la roche au sol, ce n'était pas très confortable certes, mais il n'y avait pas de quoi faire une chambre cinq étoiles. Même pas des feuillages pour faire au moins un coussin. Je me servis de mes bras, ça allait aussi. Je fus rapidement happée par le sommeil, je ne m'étais pas rendue compte que j'étais si épuisée...
~ Chapitre Four ~
Je rêvais de choses agréables, de souvenirs, de toutes les fois où j'ai ris. Voilà une chose que je n'avais plus fait depuis longtemps: rire, sourire, m'amuser.
Un bruit sourd me tira de mon sommeil. Puis le son s'éleva de plus en plus fort et résonna avec violence dans le grotte. Par réflexe je m'étais mise en boule, protégeant ma tête avec mes bras. Lorsque le silence fut revenu je me tournai vers l'entrée de la grotte. *Non... C'est pas possible !* Un éboulement venait de boucher l'entrée ! Il faisait encore nuit et les rayons de lune éclairaient encore un peu les ténèbres de la caverne, filtrée par de petits cailloux. J'avais peur. Et je ne pus retenir mes gestes, mes cris.
-NOOOON ! hurlais-je
Je m'élançai vers le tas de pierre où j'y fracassai mon épaule pour tenter de déplacer une grosse pierre. Je répétai encore et encore ''Non, non !'' en poussant de toutes mes forces, impossible. A bout de force, je me laissai tomber en arrière. Je voulais que tout cela s'arrête. Que les 24h soient écoulées, que je ne revienne plus jamais dans cette cellule, que je retrouve une vie normale... C'est alors que je me rendis compte d'une chose: tout ça à cause de mon pouvoir. Si j'ai perdu mes amis, c'est à cause de lui. Si j'ai du aller à Eternal Time, c'est à cause de lui. Si je me suis fait capturée, c'est à cause de lui... Sentant mes forces me quitter, une larme roula sur ma joue. Je n'en pouvais plus, et désormais je broyais du noir, j'en voulais à moi-même, à ce pouvoir qui a changé ma vie qui n'était pas parfaite d'ailleurs, mais mieux que celle que je vivais en ce moment là. Mais si je n'étais pas allée à l'académie... Je n'aurai jamais connu Scott, ni Sweet... Un pincement me fit lâcher un deuxième filet salé qui contourna ma bouche, passa dans ma nuque. Je m'assis, face à l'amas de roches. Devais-je prendre se pouvoir comme une malédiction ? Ou au contraire, une bénédiction... Peut-être les deux. Car c'était grâce à lui que je me sortirai de là. Je me battrai jusqu'au bout.
Et c'est gonflée de courage que j'escaladais le tas, là où les pierres se faisaient plus petites. Je dégageai un petit trou, puis poussais les plus grosses pierres avec mes mains en m'aidant de mon pouvoir. Je parvins à faire un espace assez grand pour que je puisse y passer. Je passai la tête la première me hissant à l'extérieur ou la lune commençait à descendre dans le ciel. Et je glissai. Ma main dérapa. Je partis en avant. Je culbutais contre les rochers, le derrière, ma jambe blessée, mon épaule, ma tête... Puis je sentis seulement mon corps s'étaler dans le sable, le noir envahissant mes pensées, ma vue, je perdis connaissance.
~ Chapitre Five ~
Je me retrouvai chez moi. Dans ma maison. Dans ma chambre. Sur mon lit. Elle n'avait pas changé. Le vieux lit grinçant et pourtant au matelas confortable avec des draps de lit blancs. La fenêtre grande ouverte donnant dans le jardin en-dessous, les rideaux faisant l'effet d'une boule à cause de la légère brise. Mon bureau et ma chaise étaient toujours là, mon armoire aussi. J'étais bien. Une voix masculine bien connue m'appela.
-Gwen, descend on mange !
Je descendis donc en fermant la porte dans mon dos. Je dévalai les escaliers et débouchai dans la salle à manger, je fus presque surprise. Mes amis, ceux de mon enfance mais qui avaient maintenant seize ou dix-sept ans, étaient tous à table en train de parler, de rire. Ma mère apportait un plat sur la table et mon père était déjà assis à parler avec mes amis. Je pris place à côté du dénommé Matthias, je me souvenais bien de lui, et de tout ceux de cette attablée. Matthias sourit et passa amicalement son bras sur mes épaules.
-Alors, comment va notre Gweny ?
Un sourire s'afficha sur mon visage alors que j'allais répondre, mais on ouvrit la porte d'entrée violemment. Je frissonnai. Trois hommes en noirs débarquèrent dans la pièce, d'autre éclatèrent les fenêtres et bientôt nous furent tous encerclés. Un commença à faire feu, Mathilde s'écroula une balle dans la tête, tout le monde se mit à hurler et je fus la seule à me jeter sous la table. Les coups de feu se firent plus nombreux, on entendait les gémissements d'agonie des invités et des parents. Je me roulai en boule, puis plus rien, plus un seul bruit. Je sortis de ma cachette, il ne restait plus que les cadavres.
-NOOOOOOON ! POURQUOI MOI QU'EST-CE QUE J'AI ENCORE FAIT !
A mon front, des perles de sueur perlaient et roulaient le long de mon visage. J'étais assise dans le sable et je me rendis compte que ce n'était qu'un très mauvais cauchemars. Mes amis... Ils ne me voyaient pas différente, mes parents non plus, tout était si parfait... Je pleurais, vidant toutes les larmes de mon corps. Je joignis mes genoux près de ma poitrine et sanglotais encore et encore, je ne pouvais plus m'arrêter. J'avais besoin de quelqu'un, d'une présence. Je devais voir et toucher quelque chose de vivant avant que je ne perde la raison. J'étais sûre que c'était un coup de ces connards de scientifiques qui s'amusaient à me traumatiser. Je n'avais même pas remarqué que le jour pointai à l'horizon. Bientôt les vingt-quatre heures seraient écoulées, je pourrais enfin retrouver Scott. Mes larmes ne cessaient pas de couler, j'hoquetai plusieurs fois en tentant de me relever. Je regardai autour de moi. La montagne, le tas de pierres, le désert.
-Ne bouge plus.
Clic ! Je reconnus nettement la voix de mon père, et celle d'une arme qui se chargeait. Je pivotai sur mes talons, les larmes séchées et qui continuaient à couler sur mon visage qui d'habitude si souriant et lumineux, avait tout perdu. Mon regard était terni, mon coeur était serré. Je ne pouvais plus tenir, j'avais faim, j'étais fatiguée, j'étais à bout, je voulais mourir.
-Tirez. Que je quitte enfin cette connerie de vie.
C'était un ordre. Clair. Net. L'homme apporta la viseuse à son oeil. Je ne bougeai pas d'un poil. Il posa son doigt sur la détente. Le temps parut s'arrêter.
~ Finally ~
Je me sentis reprendre conscience par un gargouillement. Ma bouche était pâteuse et atrocement sèche. Je tâtais le palet de ma bouche avec ma langue, ouvrant un peu la bouche. Berk, je n'aimais pas ce goût... Ho mais au fait, j'étais où ? J'ouvris les yeux, puis les refermai tout de suite. La lumière était vraiment aveuglante, et les lampes à néons puissantes reflétaient sur les murs blancs, ce qui me fit voir des étoiles. Je m'assis lentement, en ouvrant les yeux au fur et à mesure, m'habituant peu à peu à la luminosité. Mais on m'attrapa pas les épaules et me forçait à rester coucher. Je jetai des regards à côté de moi. Des hommes étaient en blanc, avec un casque ressemblant à ceux que portaient les soldats dans le désert mais de la même couleur que leur blouse. Je ne voyais pas leur yeux, et leurs mains étaient emballées dans des gants. Euh... J'étais atteinte d'une maladie grave ? Non, parce que on aurait pu croire. Je regardais mes bras, des tuyaux s'infiltraient dedans. Une poche de sang était à côté, une petite douleur me fit grimacer vers l'épaule. En bougeant un peu, je sentis aussi des tuyaux dans mon nez. De retour à la case départ.
Même si j'étais persuadée du contraire, je tentai d'utiliser mon pouvoir. Mais non, rien. Comme si la case de mon cerveau qui le contenait avait disparu. Puis on m'arrachait tout mes tuyaux et me forcèrent à me lever. Arrivée sur pied sans l'appui des scientifiques, je manquais de tomber en arrière. Mes muscles étaient encore endormi à cause du poison que l'on m'avait injecté dans la salle de simulation. On me poussa sans une pointe de douceur me forçant à marcher. Mes jambes tremblaient sous mon poids mais pourtant j'y arrivais, avec peine. Ils baragouinèrent certaines choses, que je ne compris pas, puis m'attrapèrent par les bras et nous sortîmes de la salle. Je connaissais un peu l'endroit maintenant. Nous arrivâmes dans la salle des cellules, je croisais le regard de certains. Des jeunes qui pleuraient, les plus grands essayant de les rassurer en vain. Pour la plupart je les avais déjà croisés à l'académie. Ça me réchauffait le coeur, de les voir, dans la même galère que moi. Nous arrivâmes devant la cellule de Scott et moi, ce dernier n'étant pas là. On m'y jeta, puis ils partirent sans un mot. Mes jambes étaient toujours tremblantes comme une feuille et une épaule me faisait un peu mal. Je passai ma main dessus. Je ne sentis rien... Quoi qu'en appuyant un peu je sentais quelque chose de dur. Une puce ? Un mouchard ?
Je devais avouer malgré moi que j'étais presque heureuse de me retrouver là, plutôt que dans cette salle de simulation. Ici j'étais tranquille, mais je voulais voir Scott... Et j'avais faim, j'avais soif... Au moins j'avais eu l'opportunité de me laver un peu, sans savon pourtant. Mais je me sentais un peu plus fraîche. Déjà à bout de force, je m'allongeai sur le sol de la cellule, utilisant mes mains en tant que coussin, et je ne tardais pas à trouver le chemin des rêves et des cauchemars...
~ The End ~
Lilix Membre Actif :)
Messages : 30 Date d'inscription : 15/09/2011
Sujet: Re: ». Mes textes à moi (: Jeu 15 Sep - 18:42
Ahh... Les rp's ! Ce que j'aime ça ! C'était quoi ce rp ?
Lyoko30 Membre Actif :)
Messages : 62 Date d'inscription : 12/09/2011 Age : 27 Localisation : Swiss'
Sujet: Re: ». Mes textes à moi (: Jeu 15 Sep - 18:55
Tu as tout lu d'un coup ? Tu en as du courage toi =DD Je dis dans le premier message, c'est un rp tout seul se faisant dans une salle de simulation. =P Une expérience pour voir jusqu'où peuvent aller les limites du pouvoir à Gwen. (la perso) ^^
Lilix Membre Actif :)
Messages : 30 Date d'inscription : 15/09/2011
Sujet: Re: ». Mes textes à moi (: Sam 17 Sep - 13:57
Nan, pas tout, j'avoue Le début et la fin, quoi Mais je voulais dire, sur quel forum, quoi ? C'était quoi l'adesse du forum ?
Lyoko30 Membre Actif :)
Messages : 62 Date d'inscription : 12/09/2011 Age : 27 Localisation : Swiss'
Sujet: Re: ». Mes textes à moi (: Dim 18 Sep - 15:14
Ho d'accord, désolé de mon incompréhension xD *Fuit* C'est là. x)
Mer 14 Sep - 17:29
